Par Patrick Ferras, directeur de l’Observatoire de la Corne de l’Afrique, enseignant à IRIS Sup’, et Jessica Ekon, diplômée d’IRIS Sup’ en Défense, sécurité et gestion de crise
Usage disproportionné de la force, populations civiles malmenées, irruptions répétées dans la vie politique en vue de confisquer le pouvoir, corruption endémique, contribuent à faire des forces de sécurité et de défense africaines des facteurs d’insécurité et d’instabilité. Partant du postulat que la sécurité est une des conditions majeures pour favoriser le développement, la réforme du secteur de la sécurité (RSS) a pour ambition de corriger ces dysfonctionnements afin de rendre les systèmes de sécurité en capacité d’assurer leurs missions régaliennes, c’est-à-dire la souveraineté des États et la protection des populations.
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